Heureusement, il y a les chats

Au risque d’adhérer au consensus mondial : quelle paire d’années merdiques. Je ne suis déjà pas d’une nature débordante d’optimisme, mais depuis quelques mois, on atteint de nouvelles strates de la poisse, c’en devient presque incroyable. On vit chaque jour dans la peur qu’il soit pire que la veille, d’une façon ou d’une autre, qu’un…